Il avait été annoncé de cela plusieurs mois, on en avait découvert les affiches sulfureuses des personnages du films en pleine jouissance sexuelle. Cette semaine est sorti le film tant attendu mais néanmoins septique sur son contenu, Nymphomaniac de Lars Von Trier. Le film dure environ 4h mais il a été coupé en deux parties et c'est cette première parti qui fut diffusé dans les cinémas français.
Qu'on ce le dise directement, Nymphomaniac n'est pas un film pour tout le monde, alors privilégié plutôt La Reine des Neiges pour vos enfants ou Yves Saint Laurent pour les sensibles. Accès sur la sexualité pur et dur, sur l'addiction du sexe et ses travers. Von Trier a mis le doigt sur un sujet qui reste souvent sensible pour beaucoup voir tabou (il fut interdit dans certains pays). En France, on a eu le droit à la totalité du film et non censuré, donc oui, vous y verrez des pénis.
L'histoire de se film nous lance sur une rencontre inattendu entre Joe (Charlotte Gainsbourg) et Seligman (Stellan Skarsgard). Joe, une femme en mauvaise état raconte son histoire, l'histoire de son addiction au vielle homme. On découvre alors l'enfance et l'adolescence de Joe, déjà jeune et pleine de vie, la famille et surtout son père, un médecin parfois sensible. On y découvre ses principales conquêtes, toujours d'un coup, des prouesses et délires de jeunes filles formant leur assemblée anti-amour. Voila le débat principale de ce premier volet, l'amour et le sexe, de chose contraire mais qui pourtant on semble avoir besoin de l'un comme de l'autre. Joe rencontre aussi un bel homme, son premier plan, celui qui l'a défloré, celui qu'elle recroisera tout le long de sa jeunesse, le beau et séduisant Jérôme (Shia LaBoeuf). Un amour se trouverait-il en plein coeur de cette spirale sexuelle ?
Dans un autre temps, c'est le personnage de Seligman qui est important, c'est celui qui écoute l'histoire, qui la juge mais qui surtout l'approuve par divers métaphores bien trouvées en rapport entre le sexe et la pêche, Joe attirait les hommes vers son hameçon, comme un pêcheur attirerait le poisson. C'est à la première partie du film mais dans la seconde partie de ce volet, c'est à la musique que les métaphores se forment. Joe compare trois hommes dont elle se souvient bien comme une composition de trois instruments formait par Bach. Une approche peut être plus douce et philosophique de montrer l'addiction du sexe, mais qui créer un film intelligemment bien tournée. Une sorte de documentaire dramatique et érotique.
Mon personnage favori reste quand même Mme H (Uma Thurman) charismatique, délivrant des émotions fortes, un courage inné qu'on ne verra que le moment d'un chapitre.
Un film sensationnel et rempli de questionnement sur la sexualité de l'être humain mais aussi d'un monde ouvert à plus de proposition que dans le temps. Une ouverture d'esprit qu'il faut aussi avoir pour apprécier le film convenablement.
Découvrez la bande annonce : (Vous devez être majeur pour la voir)
Qu'on ce le dise directement, Nymphomaniac n'est pas un film pour tout le monde, alors privilégié plutôt La Reine des Neiges pour vos enfants ou Yves Saint Laurent pour les sensibles. Accès sur la sexualité pur et dur, sur l'addiction du sexe et ses travers. Von Trier a mis le doigt sur un sujet qui reste souvent sensible pour beaucoup voir tabou (il fut interdit dans certains pays). En France, on a eu le droit à la totalité du film et non censuré, donc oui, vous y verrez des pénis.
L'histoire de se film nous lance sur une rencontre inattendu entre Joe (Charlotte Gainsbourg) et Seligman (Stellan Skarsgard). Joe, une femme en mauvaise état raconte son histoire, l'histoire de son addiction au vielle homme. On découvre alors l'enfance et l'adolescence de Joe, déjà jeune et pleine de vie, la famille et surtout son père, un médecin parfois sensible. On y découvre ses principales conquêtes, toujours d'un coup, des prouesses et délires de jeunes filles formant leur assemblée anti-amour. Voila le débat principale de ce premier volet, l'amour et le sexe, de chose contraire mais qui pourtant on semble avoir besoin de l'un comme de l'autre. Joe rencontre aussi un bel homme, son premier plan, celui qui l'a défloré, celui qu'elle recroisera tout le long de sa jeunesse, le beau et séduisant Jérôme (Shia LaBoeuf). Un amour se trouverait-il en plein coeur de cette spirale sexuelle ?
Dans un autre temps, c'est le personnage de Seligman qui est important, c'est celui qui écoute l'histoire, qui la juge mais qui surtout l'approuve par divers métaphores bien trouvées en rapport entre le sexe et la pêche, Joe attirait les hommes vers son hameçon, comme un pêcheur attirerait le poisson. C'est à la première partie du film mais dans la seconde partie de ce volet, c'est à la musique que les métaphores se forment. Joe compare trois hommes dont elle se souvient bien comme une composition de trois instruments formait par Bach. Une approche peut être plus douce et philosophique de montrer l'addiction du sexe, mais qui créer un film intelligemment bien tournée. Une sorte de documentaire dramatique et érotique.
Mon personnage favori reste quand même Mme H (Uma Thurman) charismatique, délivrant des émotions fortes, un courage inné qu'on ne verra que le moment d'un chapitre.
Un film sensationnel et rempli de questionnement sur la sexualité de l'être humain mais aussi d'un monde ouvert à plus de proposition que dans le temps. Une ouverture d'esprit qu'il faut aussi avoir pour apprécier le film convenablement.
Découvrez la bande annonce : (Vous devez être majeur pour la voir)
by Pigmalion